La Compagnie Sens Ascensionnels

QUI SOMMES NOUS ?

Depuis sa création en 2001 la Compagnie s’empare des problématiques du monde dans lequel elle s’inscrit au cours d’un travail préalable de recherche (documentaire, sociologique, historique, littéraire…) de manière à les mettre en scène, en espace non dédié, en appartement, en rue. Son travail de création de spectacles vivants basé sur le fond se décline ainsi en plusieurs axes et différentes formes mêlant souvent texte, corps, travail vidéo et sur l’objet.
Les spectacles ouvrant un espace de débats intégré au spectacle même. Précédés d’un travail d’enquête, entretiens ou recherches en immersion, ils se jouent à la fois dans les théâtres et tout type d’autres salles, y compris pour certains chez l’habitant. Par exemple : « Ne vois-tu rien venir » sur les mères dont les enfants sont partis faire le Djihad, « Naz » sur les jeunes dans les groupes néo-nazis, « Café équitable et décroissance au beurre » sur les questions de décroissance et développement durable, « Le rapport Lugano » sur le mondialisation…

Les spectacles ouvrant un espace de débats

Les spectacles destinés uniquement aux théâtres avec des plateaux plus conséquents et issus du répertoire d’auteurs du XXième siècle

Les spectacles destinés uniquement aux théâtres avec des plateaux plus conséquents et issus du répertoire d’auteurs du XXième siècle comme « Faut pas payer » de Dario Fo et « Shitz » d’Hanock Levin, ou adaptés de romans contemporains comme « Demandons l’impossible » d’Hervé Hamon.
Les spectacles jeune public écrits par Christophe Moyer mêlant texte, objets, stop motion et manipulations au plateau. Comme « Une petite histoire de l’humanité à travers celle de la patate », « J’ai un arbre dans mon cœur », « Oblique » (textes édités aux éditions La Fontaine).

Les spectacles jeune public écrits par Christophe Moyer

Des spectacles en déambulation dans l’espace public, intégrant des habitants

Des spectacles en déambulation dans l’espace public, intégrant des habitants et crée lors d’immersions longues dans un quartier, une ville selon le protocole suivant :

  • Rencontre artistique avec les habitants et les lieux en jouant à domicile nos spectacles qui s’y prêtent, ce qui crée la discussion.
  • Réalisation d’ateliers d’écriture, jeu, vidéo qui donnent lieu à l’écriture du spectacle.
  • Réalisation du déambulatoire où chaque habitant qui le souhaite est intégré (écriture, jeu, décor, logistique…)
Ce type de projet a été réalisé à Bois-Blancs (quartier lillois) avec Le Grand Bleu (SCINAEJ), à Harnes avec Culture Commune (SN), avec Lille 3000 et les villes de Mons-en-Baroeul, Grenay et Vieux-Condé.
 
Forte de cette expérience, la compagnie va réaliser sa première création destinée directement à tourner dans l’espace public en 2024 : « La nature est un être humain comme les autres ».
Les spectacles ouvrant un espace de débats intégré au spectacle même. Précédés d’un travail d’enquête, entretiens ou recherches en immersion, ils se jouent à la fois dans les théâtres et tout type d’autres salles, y compris pour certains chez l’habitant. Par exemple : « Ne vois-tu rien venir » sur les mères dont les enfants sont partis faire le Djihad, « Naz » sur les jeunes dans les groupes néo-nazis, « Café équitable et décroissance au beurre » sur les questions de décroissance et développement durable, « Le rapport Lugano » sur le mondialisation…
Les spectacles destinés uniquement aux théâtres avec des plateaux plus conséquents et issus du répertoire d’auteurs du XXième siècle comme « Faut pas payer » de Dario Fo et « Shitz » d’Hanock Levin, ou adaptés de romans contemporains comme « Demandons l’impossible » d’Hervé Hamon.
Les spectacles jeune public écrits par Christophe Moyer mêlant texte, objets, stop motion et manipulations au plateau. Comme « Une petite histoire de l’humanité à travers celle de la patate », « J’ai un arbre dans mon cœur », « Oblique » (textes édités aux éditions La Fontaine).
Des spectacles en déambulation dans l’espace public, intégrant des habitants et crée lors d’immersions longues dans un quartier, une ville selon le protocole suivant :

  • Rencontre artistique avec les habitants et les lieux en jouant à domicile nos spectacles qui s’y prêtent, ce qui crée la discussion.
  • Réalisation d’ateliers d’écriture, jeu, vidéo qui donnent lieu à l’écriture du spectacle.
  • Réalisation du déambulatoire où chaque habitant qui le souhaite est intégré (écriture, jeu, décor, logistique…)
Ce type de projet a été réalisé à Bois-Blancs (quartier lillois) avec Le Grand Bleu (SCINAEJ), à Harnes avec Culture Commune (SN), avec Lille 3000 et les villes de Mons-en-Baroeul, Grenay et Vieux-Condé.
 
Forte de cette expérience, la compagnie va réaliser sa première création destinée directement à tourner dans l’espace public en 2024 : « La nature est un être humain comme les autres ».
 
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